" Jeudi 27 mai : une salle comble, avocat et procureur général prêts à entrer dans l'arène, yeux qui jettent des éclairs, un accusé fanfaron et des jurés triés sur le volet : le procès fictif de N. commence.
Preuves accablantes, contre-interrogatoires tendus, des "Ojection" qui fusent, murmures et paroles offusqués dans le public, un tonitruant "Silence dans la salle où je fais évacuer!" , délibérations... Le verdict tombe.
Merci à la 2nde 2 d'avoir construit et travaillé sur ce projet, et à tous les protagonistes du procès fictif qui ont montré leur talent d'orateur."