Bourses scolaires

Les familles disposant de faibles revenus peuvent demander une aide à la scolarité (de la petite section à la classe de terminal) pour leurs enfants inscrits dans les établissements relevant de L’AEFE.

L’aide à la scolarité : une mission fondamentale de l’Agence

Les établissements d’enseignement français à l’étranger, rassemblés dans un réseau unique au monde composé de plus de 500 établissements dans 138 pays, sont internationalement reconnus pour la qualité de leur pédagogie qui allie l’exigence académique et le souci constant du bien-être des élèves.

Le dispositif des bourses scolaires

Les enfants de nationalité française âgés d’au moins 3 ans, inscrits avec leur famille au registre des Français établi hors de France (plus communément appelée Inscription Consulaire) et scolarisés ou en voie de scolarisation dans les 4 sites. Les demandes de bourses scolaires doivent être renouvelées chaque année pour chaque enfant concerné.

Principe

Les Bourses scolaires permettent de dégager en partie les familles des préoccupations du règlement des droits de scolarité dans les établissements français d’enseignement de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger. Elles sont attribuées en fonction de la situation financière et patrimoniale des familles, leur composition et la charge financière de la scolarité sur le budget familial. Elles sont versées directement à l’établissement scolaire.

Étape de la Campagne

La campagne boursière débute en janvier chaque année. Elle concerne tous les enfants devant être scolarisés à la rentrée de septembre de l’année civile en cours.

Le conseil consulaire des bourses se réunit une première fois, habituellement au printemps, il émet un avis et fait des propositions, soumises à l’avis de la commission nationale des bourses qui se réunit à Paris. En juin, les familles sont ensuite avisées individuellement de la décision prise par cette commission.

Le conseil consulaire des bourses se réunit une deuxième fois en mois d’octobre .il ne prend en compte que les demandes des familles venues s’installer en Algérie, mais dont la situation financière a changé de façon notable depuis la clôture de la première campagne boursière ou sollicitant une révision de la décision prise à l’issue de la première campagne.

La commission nationale des bourses se réunit en décembre dont les familles sont avisées.